Le deuxième Comité de pilotage annuel redéfinit son calendrier de mise en œuvre afin de s’adapter aux nouveaux défis du projet.

Reunión del Comité de Pilotaje Anual en Bera.

La mairie de Bera a accueilli hier la deuxième réunion du comité de pilotage du projet annuel transfrontalier POCTEFA La Rhun-E, un projet qui regroupe différents acteurs publics des deux côtés des Pyrénées dans le but de préserver et de revitaliser le mont La Rhune en tant que site naturel, patrimonial et touristique.

Parmi les participants à la réunion figuraient Jean-Pierre Mirande, vice-président chargé des politiques de montagne, de la coopération transfrontalière et délégué pour les relations avec la Navarre au Conseil départemental des Pyrénées-Atlantiques ; les maires d’Ascáin, Jean-Louis Fournier ; de Bera, Aitor Elexpuru ; et de Sara, Battit Laborde ; ainsi que des représentants des autres partenaires du projet : la mairie d’Urruña, le gouvernement de Navarre et l’entreprise publique Orekan.

Lors de cette réunion, un bilan détaillé des progrès réalisés au cours de ces deux dernières années et des actions en cours a été dressé, et une nouvelle approche a également été envisagée pour certains axes de travail, visant à adapter le projet aux besoins identifiés ces derniers mois. De plus, la nécessité d’établir un nouveau calendrier de mise en œuvre et de revoir le budget de la prochaine phase du projet a été soulevée.

Au cours de la réunion du comité, trois études réalisées dans le cadre du projet La Rhun-E ont également été présentées :

• Une étude paysagère transfrontalière, réalisée par la société Kaizen, analysant l’évolution et la perception de l’environnement naturel et culturel de La Rhune.
• Un projet architectural pour la création d’un espace public dans la zone, visant à améliorer l’accueil et l’expérience des visiteurs.
• Un projet de création d’un sentier de découverte au sommet, conçu pour réorganiser les flux de visiteurs et favoriser la renaturation du site.

Le comité a réitéré l’engagement de tous les partenaires à promouvoir la protection et la conservation de la nature, de la biodiversité et des infrastructures vertes, tout en améliorant la gouvernance transfrontalière et en valorisant la richesse culturelle et économique de la région.